vendredi 7 octobre 2011

Pierre de Ronsard

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Jean a dit…

Une nuit, la lumière tissa le présent. A force de l'observer, le promeneur suit ses fragrances comme on caresse un souvenir le matin.La main qui dit un regard concentré parle à la mémoire du vent qui perle sur une toile ouverte et derrière laquelle se joue les malices du temps qui passe.