mercredi 14 septembre 2011

Pivoine blanche

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Enfin des fleurs que l'on peut exposer chez soi sans que ça fasse maison de retraite.

Anonyme a dit…

vivement le "troize" ...

Nohanne

Anonyme a dit…

Une fenêtre s'ouvre brutalement et offre la fermeté de la sensualité d'une vue méticuleusement décrite. Une fleur parfume l'ailleurs, un au delà de soi, un écran face à l'horizon. Elle se découvre avec un soin extrême. Une délicate méditation qui révèle une hyper-réalité. Et notre regard captif s'invente un rêve comme pour mieux s'en préserver en empruntant ses traits qui sont un désir à l'infini posé au plus prés.

jean l'anonyme a dit…

Un bourdon cherche l'extase, le sucre et l'euphorie.
Il touche à sa faim
De délices en saveurs délicates comme un suspens d'écoute dans un phrasé chuchoté, il va et revient à l'origine
Toujours